Ce rapport met en lumière les principales conséquences d’un réchauffement à +2°C (objectif de l’Accord de Paris) et à +4°C (scénario le plus probable) sur les pratiques sportives, les infrastructures, les athlètes et les événements. Un chapitre est consacré aux sports nautiques et notamment aux risques liés à la montée du niveau de la mer et à la multiplication des tempêtes. A +4 °C, un quart des clubs nautiques pourraient être relocalisés, et un sur sept à +2 °C. La santé des pratiquants est aussi en jeu. La chaleur excessive combinée à la réverbération de l’eau accroissent les risques de coups de chaleur et de noyades, ce qui nécessite une adaptation des pratiques et des infrastructures.